Marquage et personnalisation: l’allégorie du tatouage !
Le tatouage, allégorie de la personnalisation dans ce dossier, fait dorénavant partie intégrante du corps et de nos vies. Il est partout, sur tout le monde. Certains en sont recouverts, d’autres aimeraient sauter le pas. Du minimalisme graphique à la fresque, l’art du tattoo accompagne les modes, les cultures et les inspirations.
Quand on imprime on s’exprime
C’est pourquoi, nous avons choisi de prendre le tatouage comme allégorie au sein de ce dossier destiné à la personnalisation. Cette identification qui permet d’apposer son logo sur tout ce qui s’imprime ou de l’intégrer, élégamment, au sein d’un motif pour faire de ce que l’on offre un produit boutique ou qui donne l’envie de le posséder.
Commençons par une émission de TV venue d’Angleterre, « Tattoo Fixers », qui est apparue sur nos écrans français en 2018 sous le nom de « Tattoo Cover ». Le message est clair, pour imprimer quelque chose sur son corps mieux vaut faire appel à un professionnel. En matière de Tattoo, la peau, sa carnation, sa texture, l’emplacement vont orienter le choix du matériel et les faisabilités. De même que l’œuvre piquée à même la peau ne pourra plus s’enlever (sauf au prix d’une douleur réelle et d’un coût non moins douloureux). Ce qui a fait le succès de l’émission ? Des tatouages maison, ou par de faux professionnels, voire le mauvais choix trop visible. Évitons de faire du logo de son entreprise la star d’une émission… Il est fondamental de considérer la personnalisation comme un tatouage, comme une œuvre.
C’est donc parce que l’on aime les créations de tel ou tel tatoueur que l’on va aller vers lui. Les précédents tatouages qu’il a réalisés prouvent ses compétences et le rendent crédible. Le ou la future tatouée va donc déci- der de s’engager et le choisir.
Vous l’aurez compris, personnaliser un produit, un vêtement, un packaging ou un objet est à l’image du Tattoo, c’est du ressort d’un professionnel. Professionnel qui dispose de 7 cerveaux pour remplir son rôle, comme vous pouvez le lire dans notre dossier sur la Communication HaptiqueTM, et faire de votre projet de communication de marque, l’objet de son incarnation.
Pour ne pas avoir un tatouage qui bave, on va chez un pro, idem pour personnaliser.
Si pour le tatouage, nous vous laissons libre de choisir de la qualité, en revanche pour votre logo ou votre création graphique, aucune bavure ne peut être acceptée. Cela commence par la diffusion du bon fichier !
Quel résultat suivant ce que l’on envoie à l’agence ?
- Un dessin scanné : flou, fade et difficilement exploitable.
- Un Fichier word : inutilisable.
- Fichier JPG ou PNG : certains vous diront qu’ils peuvent faire des miracles, méfiez-vous.
- Fichier PSD (Photoshop) : il sera sûre- ment de superbe qualité mais ne sera pas vectorisé. Ainsi on ne pourra pas le travailler en garantissant le respect de l’œuvre originelle.
- Fichier AI non vectorisé (Illustrator) : Nous y sommes presque mais il faut encore le vectoriser.
- Un fichier AI vectorisé (Illustrator) : Vectorisé signifie que tout le contenu a été désassemblé de son état d’origine pour être transformé en une suite de vecteurs qui vont être tous reliés ensemble et permettre un traitement de l’image parfait par toutes les machines-outils qui permettent de personnaliser de multiples façons.
- Un fichier 3D : Oui double oui, mais pas avec les personnalisations classiques. En revanche, l’idée est excellente car la personnalisation des objets et textiles en mode 3.0, existe. Il s’agit de la Réalité Augmentée. Imaginez un tatouage que l’on pourrait changer tous les jours !
Le but quand on offre un message sur un support, c’est qu’il soit utilisé, fier d’être porté, comme un tattoo.
La personnalisation, c’est tatouer son entreprise !
La communication est partout et surtout sur ce que l’on expose à l’autre. D’ailleurs, le tatouage ne fait pas exception à la règle. Les graphismes et les couleurs transmettent un message. L’emplacement du Tattoo définit à qui on transmet ce message. C’est tellement personnel que ces règles se mettent en place d’elles-mêmes. On peut y voir un exemple quand il s’agit de communiquer avec ses clients, ses prospects, ses employés. L’emplacement et le contenu.Car si le contenu est tout, il ne peut pas être n’importe quoi. Pensez-y.
Le plus important est de définir le message que l’on veut faire passer et à qui on souhaite qu’il soit diffusé. Faut-il, alors, imprimer le logo de l’entreprise ou plutôt travailler le style, la création, les couleurs voire le message écrit ? Faut-il l’apposer sur l’avant- bras, le dos, le front, les mains ? Autrement dit, qui doit voir ce message ? C’est là qu’intervient le choix du support et sa façon de le personnaliser pour bien l’offrir.
La taille du tatouage est importante pour celle ou celui qui voudra le garder à vie. Et ce ne sera pas le même prix si l’on choisit une petite étoile sur la partie antérieure du poignet ou une reproduction du tableau « Le Jardin des délices » de Jheronimus Bosch sur toute la surface du dos.
Il en va de même avec le choix de la taille et du nombre de couleurs pour votre personnalisation, quel que soit le marquage. Car le coût est fortement dépendant de la dimension de l’œuvre, du nombre de couleurs qui la com- pose et de la méthode utilisée.
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